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La forêt interdite / Budd Schulberg
Livre
Edité par Rivages. Paris - 2004
Ce récit d'aventures, qui est aussi une interrogation sur l'idée même d'une civilisation et sur la révolte de l'homme contre son créateur, fut tourné à la fin des années 50 par Nicholas Ray. Les deux autres textes témoignent de la situation des Noirs aux Etats-Unis et de l'implication de B. Schulberg dans la lutte pour les droits civiques.
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- Type de document
- Livre
- Langue
- français
- Description physique
- 310 p. ; couv. ill. en coul. ; 17 cm
- Date de publication
- 2004
- Collection
- Rivages-Poche ; . Bibliothèque étrangère
- Liens
- Est une traduction de : Across the Everglades
- Est une traduction de : The Watts workshop
- Est une traduction de : Dialogue in black and white
- Contributeurs
- Baldwin, James (1924-1987). Collaborateur | Bondil, Danièle. Traducteur | Bondil, Pierre (1952?-....). Traducteur
- Cotes
- ADL I -17748
- Sections
- Patrimoine
- Public visé
- Adultes
- ISBN
- 2-7436-1213-4
- EAN
- 9782743612139
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Quatrième de couverture
Budd Schulberg
La Forêt interdite
La Forêt interdite est un film culte de Nicholas Ray tourné en 1957 et 1958 dans les Everglades. Le scénario, signé Budd Schulberg, est un texte capital. C'est, selon son auteur, « une histoire authentique qui montre l'homme civilisé contre l'homme de la nature, dressés l'un contre l'autre, dans l'une des régions les plus reculées et les plus impressionnantes de la terre ». Chef-d'uvre écologique avant l'heure, La Forêt interdite est, en plus d'un formidable récit d'aventures, une interrogation sur l'idée même de la civilisation et de la révolte de l'homme contre son créateur.
Ce volume contient également un article sur L'Atelier d'écriture de Watts, fondé par Budd Schulberg au lendemain des émeutes dans le ghetto noir. Et il se conclut par Dialogue en noir et blanc publié par Playboy en 1967, un échange passionné entre James Baldwin et Budd Schulberg. Deux écrivains profondément engagés dans la lutte pour les droits civiques.
« Lorsqu'il regarde les ghettos noirs de Watts, Schulberg [le fait] avec l'intelligence de celui qui regarde par une fenêtre après l'avoir nettoyée de sa poussière et de sa crasse. »
Samuel Blumenfeld, Le Monde
Biographie
