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Bons temps roulés : dans La Nouvelle-Orléans noire disparue, 1978-1982 / Bernard Hermann
Livre
Edité par Albin Michel. Paris - 2015
Le photojournaliste a transcrit l'esprit de la ville où il a vécu quatre ans ; les métissages y sont la source des musiques américaines du XXe siècle. Une playlist de standards du blues et du jazz est accessible en streaming.
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Quatrième de couverture
« Des images qui sautent à la gueule (...) des foules électrisées par les marching bands (...) de la musique qui pulse dans les corps en sueur (...) »
Sylvain Tesson
« Bons temps roulés » vient de l'expression « Laissez les bons temps rouler » (d'origine canadienne francophone), symbole même de l'esprit de La Nouvelle-Orléans. Festive, flamboyante, la légendaire reine créole de la basse Louisiane fut en effet le chaudron de tous les bouillons de cultures et de tous les métissages de musiques, de couleurs, de saveurs pimentées... Bernard Hermann parvint à en capturer l'âme comme personne ne l'avait encore fait. Ses images, d'une rare intensité, sont révélées dans ce livre pour la première fois.
Inclus : La « bande originale » du livre accessible en streaming.
Biographie
Bernard Hermann débuta par le photojournalisme. Il réalisa ensuite de nombreux ouvrages photographiques sur des villes, des îles ou des pays qui furent publiés sur les cinq continents. En 1979 il arriva à La Nouvelle-Orléans pour quelques mois... et y demeura finalement jusqu'en 1982. De ces quatre années passées dans la sulfureuse « Big Easy » sont nés ces Bons temps roulés...
Source : Electre